La plupart des femmes auront au moins une infection vaginale dans leur vie et 15 % d’entre elles subiront une partie de leur vie des vaginites récidivantes. Là où les ovules prescrits par la médecine allopathique échouent, la médecine naturelle offre un traitement définitif.

https://www.plantes-et-sante.fr/articles/autres/1871-les-vaginites-en-finir-une-fois-pour-toutes

La vaginite est à l’heure actuelle le motif le plus fréquent de consultations gynécologiques. Les symptômes sont facilement identifiables (douleurs vaginales, démangeaisons, sensation d’irritation ou de brûlure durant la miction ou les rapports sexuels). Outre la gêne qu’il occasionne, ce type de problème est grave car si la vaginite n’est pas traitée, elle peut se transformer en salpingite aiguë et entraîner une infertilité, des grossesses extra-utérine ou des accouchements prématurés. Pourtant, la médecine allopathique est aujourd’hui incapable de résoudre définitivement le problème de certaines patientes. Tour d’horizon des trois types de vaginite et de leurs traitements naturels.

Les vaginites infectieuses

Ce sont les plus fréquentes. Elles représentent 90 % des cas et sont provoquées par des bactéries, des virus, des parasites ou des levures. La plupart du temps, il s’agit d’une prolifération de bactéries (Gardnerella vaginalis ou Chlamydia) ou de champignons (Candida albicans). Elle est très rarement en rapport avec une infection sexuelle (ce qui ne représente que 5 % des cas).

Le remède : la flore vaginale est composée en majeure partie de lactobacilles. Ces bactéries transforment le lactose en acide lactique pour acidifier l’environnement et empêcher ainsi la croissance de certaines bactéries nocives. Lorsque cette flore est insuffisante ou détruite, la vaginite s’installe avec son cortège de désagréments. Le remède est donc simple : il faut alors recoloniser la flore vaginale par les lactobacilles.

On pourra prendre Ferments lactiques par voie orale: associe 4 types de bactéries différentes choisies pour leurs actions synergiques jusqu’à rétablissement de l’équilibre de la flore vaginale.

Les vaginites atrophiques ou d’irritation

Elles sont dues à une baisse du taux d’œstrogènes et surviennent après la ménopause ou lors d’une opération des ovaires ou  causées  par  des produits  chimiques et  des réactions allergiques   aux   spermicides,   détergents,   savons   parfumés, adoucisseurs de tissus, latex des préservatifs ou tampons.
Ce  type  de  vaginite  nécessite  un  traitement  ayant  une  double action de rééquilibrage hormonal et d’amélioration des muqueuses.

Le remède : On pourra prendre alors un complément appelé Donna Comfort,à raison d’une gélule avant chaque repas  pendant  6  mois et  appliquer  sur  le  corps une  fois  par  jour,  une crème  de  marque Donna  cream à  base  d’huiles  essentielles, d’extraits fluides et de teinture mères.

La récidive ? Un système immunitaire défaillant

Pour les femmes souffrant de vaginites récidivantes, le seul remède complémentaire aux traitements cités plus haut doit être capable de renforcer les défenses immunitaires et développer une action anti-infectieuseantibactérienne et anti-candida.

Prendre une gélule par jour de Défense Safe pour un traitement de fond et deux gélules par jour en traitement d’attaque.

Des irritations péri-vaginales fréquentes

Des irritations péri-vaginales peuvent survenir lors de vaginites récidivantes.

Le remède : Lors de ces manifestations, appliquez l’huile ATV Easy Oil à base d’huiles essentielles (Cymbopognon Martinii Var Motia HE, Melaleuca Quinquenervia HE, Melaleuca Alternifolia HE, Aniba Rosaeodora Var Amazonica HE, Eugenia Caryophyllus HE, Mentha Arvensis HE), en application externe. 

Par ailleurs, les femmes qui souffrent d’une vaginite récidivante doivent éviter autant que possible :

  • une alimentation riche en sucre,
  • les antibiotiques et les traitements aux œstrogènes,
  • les douches vaginales,
  • le stérilet ou le frottement du latex,
  • les sous-vêtements en tissu synthétique ou les pantalons trop serrés.

Traitement du Gardnerella vaginalis par un mélange d’huiles essentielles

https://www.passeportsante.net/fr/Communaute/ReponsesExpert/Question/traitement-du-gardnerella-vaginalis-par-un-melange-d-huiles-essentielles-ca-peut-il-marcher-30781#:~:text=L’huile%20essentielle%20d’Arbre,produits%20(notamment%20en%20phytoth%C3%A9rapie).

On m’a prescrit des antibiotiques, mais beaucoup de femmes disent avoir des récidives. Puis, j’allaite, donc je préfère un traitement naturel. Est-ce qu’un mélange d’extraits de pépins de pamplemousse + huile d’arbre de thé + teinture d’échinacea peut marcher ? Sinon, quelle est la solution naturelle pour traiter le problème ?Chlo, 31 ans

La réponse de l’expert

En premier lieu, je vous invite à consulter la réponse de Diane Bardakji, pharmacienne. Elle fournit des conseils clairs et précis sur les thérapies annexes au traitement antibiotique, notamment l’échinacée que vous évoquez. En effet, la présence de Gardnerella vaginalis indique qu’il est nécessaire de restaurer votre flore vaginale, mais pas seulement. Il est important, si vous récidivez fréquemment, de revoir votre “terrain” pour revoir, si besoin, votre hygiène de vie. L’alimentation a aussi un rôle à jouer. 

Une fois cette démarche effectuée, vous pouvez, en effet, vous tourner vers des méthodes naturelles pour éviter les récidives. L’huile essentielle d’Arbre à Thé ou Tea tree (Melaleuca alternifolia) me semble appropriée car des études révèlent une efficacité sur les vaginoses bactériennes. Le traitement pourra s’effectuer par voie orale et locale, en complément d’autres produits (notamment en phytothérapie). Pour ce faire, je vous recommande fortement de vous adresser à un aromathérapeute (médecin).

Quel probiotique contre gardnerella ?

La souche Lactobacillus plantarum1 est efficace en cas de mycose récidivante, en complément d’un traitement antibiotique ou antifongique, grâce à sa forte adhérence à l’épithélium vaginal et sa forte capacité d’acidification vaginale.

Par voie orale :

Dans un premier temps rappelons qu’il ne faut pas ingurgiter des huiles essentielles pures, il faut toujours les utiliser diluées avec du miel, de l’huile d’olive ou encore sur des comprimés neutres.

Par voie cutanée :

Comme par voie orale, les huiles essentielles ne sont pas utilisées pure par voie cutanée. Il faut les diluer avec des huiles végétales, voici quelques recettes :

Lavande et arbre à thé

Mélangez du bout du doigt et appliquez l’huile sur la paroi vaginale matin et soir.

Imbibez un coton-tige d’huile de coco et versez une goutte d’huile essentielle d’arbre à thé dessus et appliquez sur la zone touchée 2 à 3 fois par jour jusqu’à guérison

Arbre à thé ou Tea tree – Melaleuca alternifolia

“L’anti-infectieuse” – L’huile essentielle de tea tree est extraite des feuilles de l’arbre à thé, originaire d’Australie.
Pendant la grossesse, on peut l’utiliser dès le 1er trimestre, sauf en usage interne
Voie orale : à partir du 4ème mois de grossesse seulement, 2 gouttes dans une cuillère d’huile d’olive, 3 fois par jour, pendant 5 à 6 jours maximum

https://www.clemencefillot.fr/blog/36/5-huiles-essentielles-indispensables-pendant-la-grossesse#:~:text=L’huile%20essentielle%20de%20tea,trimestre%2C%20sauf%20en%20usage%20interne.

Précautions générales d’utilisation des huiles essentielles pendant la grossesse

  • N’utilisez pas d’huiles essentielles pendant les 3 premiers mois de la grossesse sauf avis contraire de votre médecin, la prudence est la règle
  • N’utilisez pas d’huiles essentielles riches en cétones pendant toute la période de la grossesse par voie orale, sans un avis médical
  • Privilégiez la voie cutanée, limitée alors au traitement local et momentané, en évitant la ceinture abdominale et les zones proches du bébé
  • Référez-vous aux pages conseils du site pour respecter les conseils d’utilisations spécifiques de chaque huile essentielle
  • N’appliquez pas d’huiles essentielles sur votre peau avant une exposition au soleil

Les huiles essentielles autorisées pendant la grossesse

https://www.compagnie-des-sens.fr/huiles-essentielles-grossesse/